Paroles de...

Michel
Rondeau
Je me suis investi en tant que bénévole avant d’entrer dans l’EBE. Cette mission de bénévolat a été un moyen de rebondir après une expérience professionnelle douloureuse et de garder un équilibre personnel en restant actif. Ici, j’aime le respect que l’on a envers les gens et le plaisir que les salariés ont à travailler. On voit évoluer les gens et reprendre goût à une activité.

Patrick
Valentin
Il faut bien distinguer le travail et l’emploi. Une fois que l’on a fait cette distinction, on peut se poser la question de ce qui est utile sur le territoire. Tout travail peut devenir un emploi s’il est utile à la collectivité.

Olivier
Peverelli
Le projet TZCLD nous a tout de suite intéressé car il permettait à la fois de répondre aux besoins d’activités sur la commune et aux personnes éloignées de l’emploi de pouvoir retrouver une place.
Avant de déposer notre candidature, nous avons pris le temps de mûrir le développement d’activités. Nous avons soutenu des initiatives locales (dans la culture, la permaculture, la récupération…) sur lesquelles nous avons ensuite pu asseoir le projet TZCLD.
Le CLE est vraiment un endroit de synthèse entre les projets qui peuvent émerger et le dialogue avec les entreprises. On y parle d’égal à égal, on aborde les questions sans tabou, chacun peut entendre les difficultés de l’autre.
Pour l’avenir, on ne manque pas d’idées ! Mais il faut faire les choses dans l’ordre : solidifier la structure, coordonner le travail d’équipe… C’est beaucoup de travail mais c’est un projet qui rend heureux et qui ouvre tellement d’horizons !

Michel
Davy de Virville
Ce qui est passionnant dans ce projet, c’est qu’il permet, à la fois, à des personnes qui ont perdu espoir, de renouer un contact avec l’activité et de remettre en mouvement le territoire. Nous le voyons sur les premiers territoires engagés dans la démarche, ce qui se met en place peut devenir véritablement moteur en termes de création d’emplois, avec des gens qui sont parmi les plus éloignés du marché du travail.

Véronique
Devise
Le Secours Catholique, engagé comme membre fondateur de TZCLD depuis maintenant 5 ans, se réjouit d’y retrouver les dynamiques nécessaires pour lutter contre les exclusions et la pauvreté : des projets qui favorisent le développement du pouvoir d’agir des personnes, des groupes et des territoires, avec des formes expérimentales, portées et soutenues par une mobilisation citoyenne au service du bien commun. Notre monde et notre économie ont besoin d’être façonnés avec la contribution de chacune et de chacun, et le droit à l’emploi en est une des conditions.

Aurélie
Mathelin
Pour toucher les personnes privées durablement d’emploi de notre territoire de 38 communes, le CLE a élaboré un plan d’action. Chaque mois, l’équipe projet concentre son action sur une commune pour promouvoir une réunion de présentation. On fait un point lors du conseil municipal pour mobiliser les élu·es et on fait ensuite du porte à porte auprès des habitant·es avec des flyers. Nos partenaires sont également présents : Pôle emploi, le Département, Cap emploi… Le maillage du territoire est très important. Tous les 2 mois, on organise aussi une action grand public, avec plusieurs partenaires comme la Mission locale ou Familles rurales, un moment festif de présentation des savoir-faire, sur des thématiques comme le bien-être, les jardins… Le recul qu’on a aujourd’hui nous permet d’être vraiment proactif dans la recherche et de ne pas attendre que les gens viennent frapper à notre porte, car beaucoup n’osent pas. Nos meilleurs ambassadeurs restent les salarié·es des EBE, le bouche à oreille fonctionne très bien !

Pascal
Brice
La Fédération lutte pour garantir à tous l’accès aux droits fondamentaux. Pour y parvenir, elle mise sur l’innovation sociale, portée par des collectifs d’acteurs et de citoyens dont les personnes en précarité elles-mêmes. Elle pense capital que cette créativité de la société civile soit soutenue par l’Etat. Elle ne peut donc que soutenir fortement TZCLD qui promeut le droit à l’emploi comme moteur de la dignité de chacun et le travail collectif partant des personnes en précarité.

Laure
Descoubes
Avant l’ouverture de l’EBE, on passait notre temps à dire aux personnes privées d’emploi ‘c’est votre projet’. Si, une fois l’entreprise créée, elle ne leur appartient plus, ça n’a aucun sens. C’est pour cela qu’Actypôles a opté pour le statut de Scic [Société coopérative d’intérêt collectif]. Il y a aussi un but pédagogique à cela : impliquer ainsi les salariés permet de leur faire comprendre comment fonctionne une entreprise et de changer leur vision. Cela demande du temps et une certaine gymnastique parce qu’ils ont été habitués à avoir un patron qui décide.

Delphine
Plaud
On a commencé à mobiliser les personnes privées durablement d’emploi fin 2018. Le territoire a été habilité fin 2021. Trois ans c’est long pour les PPDE, mais ce temps est nécessaire, même si le covid a ralenti les choses. La préparation du territoire à l’habilitation n’est pas un long fleuve tranquille mais la dynamique de groupe est une plus-value à toutes épreuves : l’investissement émotionnel et temporel est énorme et il n’a jamais diminué. Nous avons appris à faire ensemble et cela préfigure la dynamique de l’EBE. L’implication des élus est aussi décisive dans cette période.

Annick
Berthier
Le mouvement Emmaüs lutte contre toutes formes de précarité grâce à l’accueil inconditionnel, la solidarité et le développement d’activités utiles pour le territoire. Nous retrouvons ces valeurs et ces orientations à travers le projet TZCLD, qui propose, grâce à un emploi durable, une solution supplémentaire contre l’exclusion, en complémentarité avec l’existant. Nous sommes par ailleurs convaincus chez Emmaüs que l’activité permet aux personnes de retrouver dignité et confiance et de s’autonomiser si elle est porteuse de sens.

Nathalie
Pontroué

Laurent
Grandguillaume
Avec la création de l’association « Territoires zéro chômeur de longue durée », nous engageons une nouvelle étape de notre projet commun. Avec les associations « membres fondateurs », ATD Quart Monde, Emmaüs France, le Secours catholique, le Pacte civique, la Fédération des acteurs de la solidarité ; avec les territoires expérimentaux et tous ceux qui veulent s’engager ; avec les experts qui veulent apporter leur expérience ; avec les citoyens bénévoles et tous ceux qui sont depuis bien trop longtemps frappés par le chômage de longue durée et doivent être au cœur du projet ; nous sommes unis pour réussir.

Jean-Baptiste
de Foucauld
Le Pacte civique est particulièrement heureux d’accompagner le projet « Territoires zéro chômeur de longue durée » au sein de l’association TZCLD, aux côtés des autres membres fondateurs. Il y retrouve parfaitement les quatre valeurs de créativité, sobriété, justice et fraternité qu’il souhaite voir appliquer à tous les étages, en vue notamment de « faire de l’emploi de qualité pour tous, à temps choisi, une priorité nationale partagée ». Nous y voyons également notre souci, dans le domaine de l’emploi, de changer de regard, de méthode, et d’échelle, et de faire du plein emploi une « utopie réaliste ».

Jean-Philippe
Constantinou
Avec d’autres demandeurs d’emploi en attente de recrutement, nous avons participé à des permanences hebdomadaires organisées par l’équipe projet avant notre entrée dans l’EBE. Ce sont des moments informels très importants car ils permettent de sortir de l’isolement du chômage de longue durée. Nous avons également appris à faire des études de marché, afin de développer des activités nouvelles pour l’EBE. C’était extrêmement intéressant car cela nous a permis d’appréhender tous les aspects d’un projet que l’on mène à bien.

Louis
Gallois
Au départ, on ne se pose pas la question de la solvabilité des emplois créés, cela ne veut pas dire qu’il faut s’en désintéresser totalement. La question de départ, c’est l’utilité du travail, pour le territoire et pour la personne qui l’accomplit. La solvabilité est une 2e question : au début, ces emplois ne sont pas solvables, mais ils peuvent le devenir et alors ils sortiront de l’EBE.

Gwénaelle
Arzillier
Lors des formations obligatoires avant d’intégrer l’EBE, j’ai parfois eu l’impression que l’on perdait notre temps. Je ne voyais pas l’intérêt que tout le monde fasse une formation de sauveteur secouriste du travail (SST) ou de prévention des risques liés à l’activité physique (Prap). Mais en réalité, on a appris à s’adapter, à travailler en binôme pour dépasser le handicap par exemple. Cela a aussi permis de connaître les sensibilités de chacun.

Marie-France
Pellegrin
Quand on n’a pas de salaire, on survit. Toucher un salaire et avoir une fiche de paie, cela change la donne, cela me permet de rétablir la situation, de m’acheter des vêtements, de faire des courses et de lancer quelques travaux dans la maison. Mais avec un Smic, on ne va pas bien loin, l’aspect financier n’est donc pas l’unique source de motivation.

Marie-Aleth
Grard
Les personnes exclues avec qui ATD Quart Monde est engagé depuis 60 ans nous ont toujours exprimé avec force leur volonté de sortir du statut humiliant d’assisté : ne pas travailler, se sentir incapable et inutile, être considéré comme un poids par la société est une souffrance terrible. Or, sans un véritable droit à l’emploi, elles seront toujours les laissées pour compte d’un marché du travail de plus en plus sélectif. Le projet TZCLD, avec son ambition de mettre en œuvre ce droit pour tous, est une chance unique pour elles de sortir durablement de l’exclusion et d’accéder à la dignité de travailleur, cette dignité qui est au cœur de notre combat.

Marie-Laure
Brunet
Au démarrage, il n’y avait quasiment pas de jeunes parmi les demandeurs d’emploi volontaires pour entrer dans l’expérimentation. Depuis l’ouverture de l’entreprise à but d’emploi, nous en voyons arriver de plus en plus.

Eric
Texier

Viviane
Martins-Baltar

Guirec
Kerambrun
C’est aberrant de partir de la personne pour la ramener vers l’emploi, si, une fois dans l’entreprise, on n’adopte plus cette logique. Aujourd’hui, on a souvent l’impression que le problème, dans l’entreprise, c’est le salarié, alors que c’est la solution ! Dans ce projet, on inverse les choses !

Laurent
Bouvet
Le projet TZCLD est totalement en phase avec les orientations du Coorace. En partenariat avec l’Ardes, nous accompagnons les territoires de la grappe Normandie de façon collective selon un programme de rencontres trimestrielles dont les thématiques sont calées sur celles de la méthodologie du projet. C’est complémentaire avec le parcours de formation car nous allons encore plus loin dans les cas pratiques.

Geneviève
Moreau
Dans l’entreprise à but d’emploi, la personne est au centre et fait ce qu’elle aime faire. Nous sommes tous des salariés polyvalents, nous donnons un coup de main aux autres quand c’est nécessaire. Aller planter des oignons dans un champ, ce n’est vraiment pas ma tasse de thé, mais je le fais plus volontiers qu’au sein de l’entreprise j’occupe un poste qui me plaît. La polyvalence est une valeur forte !

Fanny
Mollet
L’Ardes est investie sur le territoire habilité de Colombelles, cette expérience est précieuse pour accompagner les nouveaux territoires, sans être à prendre comme un modèle à reproduire à l’identique. Ce niveau d’animation régionale répond à un réel besoin des territoires, notre proximité géographique nous permet d’être plus disponibles et on apporte une excellente connaissance du terrain.

Philippe
Terrillon
Peinture, plomberie, électricité, plâtrerie… On a tout fait [pour remettre en état le hangar qui héberge l’EBE]. J’ai apporté un carton de bleus de travail et tout le monde en a enfilé un pour se mettre à l’ouvrage. On a fait ces travaux avec du matériel rapporté de chez nous, cela montre bien l’implication de chacun. Aujourd’hui, les activités qui ont démarré en premier, comme le bûcheronnage, marchent bien, cela nous conforte dans l’idée que celles qui demandent plus d’investissement vont fonctionner aussi, la recyclerie par exemple.

Jean-Paul
Ytournel
Le statut de Scic [société coopérative d’intérêt collectif, choisi par l’EBE de Thiers] donne une place plus valorisante aux salariés, on est davantage responsabilisés. On est au courant de tout ce qui se passe dans l’entreprise, c’est très transparent.

Guillaume
Bonneau
Dans ce projet, on n’a pas toutes les réponses, ni toutes les solutions, mais il faut avancer quand même et faire des sauts dans l’inconnu. C’est la culture du projet, mais c’est loin d’être toujours simple. Heureusement il y a, dans l’EBE, des salariés qui ont bien compris l’esprit du projet et qui arrivent à convaincre les autres. Cette cohésion d’équipe est très importante pour affronter l’incertitude.

Jacques
Lek
Sur notre territoire, c’est un « groupe projet » de sept personnes qui porte la démarche TZCLD. Nous nous réunissons tous les deux mois et nous avons mis en place un comité local. Nous sommes tous bénévoles, mais dès que l’on va commencer à rencontrer les PPDE, on va atteindre un peu les limites du bénévolat. Ce groupe, sous sa forme actuelle, a vocation à venir en soutien au chef de projet, dès lors que quelqu’un pourra être recruté. Le fait d’être bénévoles et pas représentants d’une structure nous confère une liberté de parole et d’action et facilite la réunion de tous les acteurs, mais cela présente l’inconvénient que tout repose sur nous.

Dorothée
Kennedy
Animer un groupe de travail n’était pas évident au départ pour moi, je suis de nature introvertie, je me dépasse tous les jours. C’est parfois compliqué mais c’est agréable et quand je rentre chez moi je suis fière.

Agnès
Thouvenot
La fabrique du consensus est certes un préalable au démarrage [du projet sur les territoires], mais c’est surtout un processus qui doit se faire tout le long de l’expérimentation. Ce n’est pas un état de fait, pas un résultat acquis. Il faut voir le consensus comme un processus, pour plusieurs raisons. D’abord parce qu’il y a des femmes et des hommes qui changent sur les territoires, et ceux qui étaient là au début ne sont pas toujours là ensuite, or il faut pouvoir accueillir cette parole nouvelle. Il y a aussi la question du temps, l’état des lieux n’est pas forcément le même au fil des années. Et enfin, il y a l’épreuve des faits, entre ce qu’on prévoit théoriquement avant de démarrer et ce qui se passe quand on lance l’entreprise.

Georgette
Fondjo
C’est un projet complexe avec beaucoup de contacts avec les élus, les partenaires, les habitants… La formation m’a permis de mieux connaître le projet et d’être plus à l’aise dans mon rôle de cheffe de projet. Grâce à ce parcours de formation, je sais mieux comment me positionner sur le terrain. Ce n’est pas toujours facile au quotidien parce que tout change tout le temps, il faut être humble. Quant aux autres territoires de la promo, ils ont apporté leur point de vue en fonction de leur avancement. Nous étions dans un esprit de complémentarité pendant le parcours et nous avons encore quelques échanges une fois la formation achevée. Cela permet de s’entraider. Je ne pensais pas qu’il y aurait autant d’échanges : c’est très précieux ! Les outils partagés sont également très utiles. On repart vraiment nourri, motivé et plein d’idées ! Je ne peux que conseiller aux autres projets émergents de suivre la formation.

Thierry
Pain
Les bénévoles apportent une expertise et un regard extérieur à l’entreprise. Le bénévolat permet aussi d’impliquer les habitants dans le projet, faire participer la population locale est un excellent moyen pour ancrer la démarche sur le territoire.

Jean-Loup Obart et Diana Prud’homme
Nous avons suivi une formation de huit jours à Grenoble [Isère], pour apprendre les fondamentaux du diagnostic socio-technique [dans le cadre du programme Slime (Services locaux d’intervention pour la maîtrise de l’énergie) du Cler (réseau pour la transition écologique)]. Cela nous a permis d’apprendre à utiliser les appareils de mesure et à bien comprendre les factures, avis d’imposition, etc. Nous avons aussi fait des mises en situation et appris à installer des petits équipements : mousseurs, joints… Une fois le diagnostic effectué au domicile de la personne, nous pouvons poser des petits équipements et nous passons le relais aux partenaires pour les travaux de plus grande ampleur.

Magalie
Fonteneau
Au début j’étais plutôt dans l’observation, j’essayais de me nourrir un maximum pour comprendre le projet, les attentes… Je suis ensuite très vite allée rencontrer les personnes privées durablement d’emploi. On a rencontré le territoire habilité de Pipriac-Saint Ganton pour échanger sur le rôle de direction et les outils, puis effectué une visite des activités avec certains de nos salarié·es. Le premier mois a été consacré à l’installation de l’EBE et des locaux puis au fur et à mesure on a mis en place les ateliers avec 4 pôles : bois/démantèlement, administratif, couture et service aux habitant·es. Aujourd’hui nous sommes à une quarantaine de salarié·es. Il y a un passage du mode projet à la création de l’entreprise concrète qui nécessite des ajustements, mais on y arrive ! Je pars du principe que l’EBE est une entreprise comme les autres. Le public est différent mais les objectifs restent centrés sur les activités de travail.

Nicolas
Devaux
En m’investissant dans les groupes de travail [qui ont été mis en place avant l’ouverture de l’EBE], j’ai rencontré des gens qui sont mes voisins, alors que j’habite dans ce quartier depuis plus de trente ans. C’est la preuve de l’isolement social profond qui peut exister quand on est au chômage.

Karim
Aouachria
Avec d’autres salariés de l’EBE, je participe aux entretiens des demandeurs d’emploi volontaires aux côtés de Pôle emploi. Nous, les salariés, sommes les mieux placés pour parler du projet : on était à la place de ces gens il y a peu de temps. Pour eux, c’est réconfortant et enrichissant de pouvoir nous poser des questions et, pour nous, c’est vraiment gratifiant.

Denis
Prost
La mobilisation autour du projet se fait en permanence. Sur notre territoire, on a pris le parti de faire du porte-à-porte pour expliquer largement le projet et embarquer un maximum de gens. On a parfois l’impression qu’une fois que l’EBE est ouverte, tout se passe en son sein, mais c’est un projet de territoire, pas seulement une entreprise. Il faut cultiver le terreau.

Laure
Herbaux
J’ai découvert l’expérimentation par Pôle emploi, j’étais alors demandeuse d’emploi depuis 2018. D’abord en position d’observatrice, j’ai été séduite par le projet. Il correspondait parfaitement à ma philosophie : penser l’entreprise autrement, les salarié·es qui créent leur activité. Dans le passé j’avais déjà créé une entreprise et je travaillais dans les RH, j’ai donc pu apporter cette expertise en m’investissant dans la construction de l’activité. Faire profiter le CLE de mes compétences m’a beaucoup valorisée et redonné confiance. Depuis le 1er mars, je suis salariée au Ressort, en tant que chargée de gestion paie et RH. J’ai fait les contrats de tout le monde, le mien compris ! Maintenant que le territoire est habilité et l’EBE ouverte, il faut que ça perdure et que ça se développe. Pour l’instant on essaye déjà d’asseoir l’entreprise, de faire en sorte que ça tourne. Il y a des perspectives assez réjouissantes dans les années à venir. Je suis très bien au Ressort, je peux à nouveau faire des projets d’avenir.